Ils peuvent tirer à partir de lance-roquettes ou d’artillerie au sol.
La Russie a été accusée d’avoir attaqué les Ukrainiens avec des bombes à fragmentation et des armes qui ont été condamnées par diverses organisations internationales.
La Russie est accusée d’utiliser des bombes interdites par le droit international
Amnesty International et Human Rights Watch ont tous deux déclaré que les forces russes semblaient avoir utilisé des bombes à sous-munitions largement interdites. Ils ont analysé des images et des vidéos issues des réseaux sociaux. Une fois tirées, les armes à sous-munitions s’ouvrent en l’air et font pleuvoir des dizaines, voire des centaines de mini-bombes, sur une cible. Ils peuvent tirer à partir de lance-roquettes ou d’artillerie au sol.
La Cour pénale internationale enquête sur les crimes
Les munitions frappent des cibles proches sans discrimination, c’est pourquoi les groupes internationaux de défense des droits de l’homme disent qu’elles ne devraient pas être utilisées. En 2008, plus de 100 pays ont accepté un traité mondial interdisant l’utilisant des armes à sous-munitions, mais la Russie ne l’a pas signé. Plutôt cette semaine, le procureur en chef de la Cour Pénale internationale, Karim Khan a déclaré qu’il prévoyait d’ouvrir une enquête sur les événements en Ukraine.
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