Les Eléphants 2010, c’est fini ! L’heure est venue pour mon confrère Stefano de motoblog.
it de quitter cette 54ème édition qui restera dans les anales pour l’abondance de neige tombée tout le week end.
Au moment de repartir, il peut avoir le sentiment d’être entrer dans la légende, d’appartenir à cette caste où on se sent légitime.
Même s’il nous avoue que la BMW R 1200 GS 2010 l’a bien adé dans sa tâche, chapeau bas monsieur !Elefantentreffen 2010 : l’heure du retour Car même si sur les photos du départ, les conditions semblent moins “hard” elles n’en restent pas moins copieuses.
Stefano garde pourtant une question en tête : “Pourquoi aller et surtout revenir aux Eléphants ?” …Après cette aventure particulière qu’il décrit comme telle : “L’ambiance est bruyante, l’air imprégné de la fumée du feu de camp, on dort peu et mal, le froid est permanent et le confort n’existe pas.
Pourquoi y participer ?” Si quelqu’un a une réponse à cette question merci de lui envoyer, car il n’en a toujours pas trouvé au fond de lui….
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Malgré tout, il est resté fasciné par ce fouillis humains et mécanique, toutes sortes de motards de toute l’Europe sur des bitzas (comme le GSXR “cross” que l’on aperçoit) capables d’endurer ce week end particulier.
Le pire dit-il pour ceux du Nord, ce n’est pas de vivre aux Eléphants mais peut-être d’y venir chargés de bagages avec le risque d’être pris dans une tempête de neige et de rester bloquer au bord de la route.
Féroce envie de participer.
Il tient à une dédicace particulière pour ce gars venu du nord en Aprilia SR50 préparé pour l’occasion : 2 jours pour arriver, 2 sur place at encore autant pour rentrer, tant de patience et sans se presser.
Finalement, les Eléphants c’est presque comme Nike “Just do it” ou en français “je l’ai fait”.
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