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Essai Autosblog : Lexus CT 200h

Texte traduit depuis l’italienUn de nos essayeurs s’est rendu dans les rues de Lisbonne afin d’essayer la nouvelle Lexus CT200h.
Premier examen au moment de s’installer, il s’agit bien d’une Lexus.
Cela se voit à la qualité perçue des matériaux qui façonnent son intérieur : du volant en cuir jusqu’au petits éléments, il n’y a aucune faute.
Les sièges offrent un très bon maintien et on procède à une batterie de réglages de la position grâce aux commandes électriques.
Lexus Ct 200hLes passagers arrières seront très bien reçus : les places sont grandes (merci à l’empattement plutôt long) et la hauteur sous toit est parfaite.
Le coffre est divisé en deux avec un faux plancher et offre 385 litres de volume utile porté à 985 une fois la banquette rabattue…Une fois installé, on a un beau tableau de bord sous les yeux avec toutes les commandes à portée de main.
La planche de bord se poursuit avec le GPS dans sa partie supérieure et au milieu de celle-ci, on trouve le bouton pour sélectionner son mode de conduite : Normal, Sport et Économique.
Ces modes sont complétés par « EV » qui est le mode tout électrique.
Au chapitre des gadgets, l’ensemble du système est commandé par un joystick.
Les plus geeks d’entre vous seront ravis d’apprendre que le système audio est compatible Iphone / Ipod mais qu’en plus un disque dur permet de charger dans l’auto sa musique préférée.
Cependant la prise USB n’est pas très accessible et aucun logement à proximité n’est prévu pour y caser un téléphone ou autre appareil.
Après avoir appuyé sur le bouton “Démarrer”, on peut se laisser bercer par le silence et accomplir les premiers mètres sur un mode full électrique (à condition que le niveau de charge soit suffisant).
Dès que l’on dépasse 45 km/h ou que nous avons besoin d’une accélération beaucoup plus forte, le mode “EV” est automatiquement désactivé.
Il faut bien comprendre que le mode EV est vraiment là pour optimiser et réduire à zéro les émissions dans un cycle urbain.
Il ne s’agit pas d’un « surplus » de puissance électrique comme c’est le cas dans d’autres marques, mais bel et bien d’une vision écologique.
Le mode ECO réduit la consommation par une réduction de l’ouverture du papillon d’injection, bridant ainsi les performances.
Dans ce mode, la climatisation est aussi gérée au mieux afin de favoriser l’économie de carburant.
En mode ECO, pour vous décrire au mieux le comportement de l’auto, un mot nous vient de suite à l’esprit : calme.
L’auto se charge presque de vous détendre et d’orienter votre conduite sur un mode paisible.
Fortement déconseillé quand on est pressé mais idéal pour la ballade, la boîte automatique parachève cette impression d’évoluer en douceur.
Mais le moment est venu de redonner une impulsion sur le bouton centrale et de passer en mode SPORT.
Le rétro-éclairage passe du bleu au rouge, tout un programme ! Le témoin « éco » reste toutefois visible et vous indique comment réguler votre élan pour malgré tout conserver une conduite raisonnable (si vous le souhaitez).
Comme par magie, l’auto devient bien plus dynamique : premièrement le moteur électrique délivre sa pleine puissance dans ce mode, pas question de rouler longtemps avec, cette fois c’est bien dans un rôle de surplus de puissance qu’il officie.
Le ressenti de la pédale d’accélérateur change comme la direction, comme plus dures mais surtout plus réactives dans les commandes exécutées.
Les aides électroniques baissent aussi d’intensité comme le contrôle de stabilité (VSC) et le contrôle de de traction (TRC).
L’once d’agressivité dans le comportement est bien là même si encore fois, c’est plus écologique avec cette auto.
On trouve également un sous-mode « B » sélectionnable depuis le bouton central qui permet d’optimiser ou accélérer le rechargement des batteries.
Récupération d’énergie au freinage, sur le frein moteur en descente, l’effet est perceptible puisqu’il s’accompagne du légère hausse du niveau sonore dans l’habitacle.
Sur un trajet mixte (grandes et petites routes), ponctué par des averses soudaines et de fortes rafales de vent, la CT200h se comporte bien.
Silencieuse et toujours à l’aise, elle a montré un bon niveau d’adhérence, même dans des conditions humides, bien aidée et assistée par tous les systèmes de contrôle cités plus haut.
Même en chargeant l’avant sur un freinage appuyé, le guidage reste sain, pas trop sous vireuse, la Lexus taille son chemin avec aisance et souveraineté.
Au passage, on salue l’excellent freinage qui ne nécessite pas de monter debout sur la pédale pour obtenir une puissance efficace, le mordant est là, même en début de course.
Mais, ce n’est pas une auto prévue pour cela, son trip à elle, c’est le déplacement actif écolo, et au final durant cet essai, nous aurons préféré le mode « Eco ».
Car si dès le début nous pensions finalement vite ne rouler qu’en mode sport, on se prend au jeu, l’auto est presque ludique grâce à son témoin de conduite éco.
Aisé à suivre, il démontre le bien fondé de l’auto et nous invite finalement à suivre la philosophie de la CT200h.
LEXUS CT 200hon a aimé :+ Très faibles émissions, « voiture la plus propre du monde».
+ Qualité des matériaux et soi du détailon a moins aimé :- une prise en main du système multimédia pas franchement intuitive- prise USB vraiment mal placée

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