Catégories: Sport
|
30 juillet 2013 12 h 44 min

Le père de Novak Djokovic s’en prend à Federer et Nadal

Partager

Dans une interview accordée à un média serbe, Srdjan Djokovic, le père du n°1 mondial de tennis Novak Djokovic, a évoqué la relation entre son fils et le duo Federer-Nadal.

L’ego entre les meilleurs joueurs du monde a-t-il perturbé leur bonne entente ? Oui, selon Srdjan Djokovic, le père du tennisman serbe Novak Djokovic. Souvent présent dans les tribunes pour soutenir le n°1 mondial lors des grands rendez-vous, celui-ci ne s’est pas privé pour critiquer Roger Federer et Rafael Nadal.

Longtemps proches du Serbe, le Suisse et l’Espagnol seraient aujourd’hui en froid avec le vainqueur de l’Open d’Australie 2013. Pour lui, c’est la réussite de Novak Djokovic et l’ombre faite par le meilleur joueur de la planète sur les deux autres stars de la petite balle jaune qui en seraient à l’origine.

« Federer a beau être le meilleur joueur de tous les temps, humainement, il est exactement l’opposé. Lorsque Federer a réalisé que Novak serait son successeur, il a tenté par tous les moyens de le discréditer », avoue Srdjan. Et « Rafa » ? « Il était le meilleur ami de Novak quand il gagnait. Depuis que les choses ont changé, ils ne sont plus amis. Ce n’est pas du sport. » Pas sûr que les intéressés soient enchantés par ces propos.

Les plus lus

La Super Ligue va vivre ses dernières heures seulement 48 heures après sa naissance. La Juventus a annoncé la fin de la nouvelle compétition

Cette décision sera maintenue tant que M. Hernández ne commet pas d’autres infractions pendant quatre ans.

Zinedine Zidane inaugure la première maison médicale digitale à Marseille.

Les Italiens célèbrent leur victoire en finale à l'Euro, à Londres. L'Italie a été capable de s'en tenir, avec un plan de jeu bien établi.

Gérard Houllier, le manager de l'OL et du Liverpool est décédé cette nuit à l'âge de 73.

Le Paris SG, vice-champion d'Europe, retrouvera le FC Barcelone en huitièmes de finale de Ligue des champions en février.

Cette fois, s'ils se qualifient, les Bleus devront gagner pour conserver leur avantage.