Possible partenariat entre Google et SpaceX
Possible partenariat entre Google et SpaceXGoogle envisagerait d’investir au moins un milliard de dollars dans la société SpaceX d’Elon Musk.
Elon Musk, créateur des voitures Tesla, de l’Hyperloop et de la société SpaceX, prévoit de construire plusieurs satellites qui survoleraient la Terre à 1200 km d’altitude afin d’apporter un accès internet aux régions les plus reculées. Mais ses plans ne se limitent pas à la Terre, il veut que la connectivité puisse atteindre également la planète Mars.
Selon lui, « il sera important pour Mars d’avoir un réseau global de communication. Je pense que c’est ce qui doit être fait, et je ne vois personne d’autre le faire. »
Si Elon Musk dispose de fonds financiers plutôt conséquents, l’apport de certains investisseurs serait toutefois vu d’un bon oeil. Et selon le site The Information, le géant de la recherche Google serait intéressé pour investir pas moins d’un milliard de dollars dans cet incroyable projet.
Une source proche de l’affaire a en outre annoncé que Google « a accepté de valoriser SpaceX à 10 milliards de dollars ». En 2010, la société spatiale à financement privé est devenue la première société privée à mettre un satellite en orbite avec succès, puis le retourner à la Terre.
SpaceX a fait énormément de progrès dans le développement de vols spatiaux privés en l’espace d’une décennie seulement et ses plans sur le long terme sont principalement axés autour du développement de fusées et de capsules réutilisables, qui devraient au final permettre de faire baisser le coût de voyages dans l’espace.
Récupérer votre password de Instagram est très simple. Découvrez quelles sont les étapes simples à suivre et ne vous inquiétez plus
Découvrez les changements critiques en matière de développement de logiciels, révélés par des experts en développement. Découvrez des idées à utiliser pour les applications et les sites web de votre entreprise.
Les FAI (Fournisseurs d'Accès à Internet) Orange, Free, SFR, Bouygues Telecom et Numericable ont dû dépenser plus de 2,5 millions d’euros en 2011. Et ce pour que la haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) puisse jouer son rôle.