amazon france
Le géant du commerce en ligne Amazon a décidé de suspendre ses activités en France après que le Tribunal de Nanterre, en acceptant l’argument soutenu par les syndicats, l’a contraint à évaluer les risques auxquels les travailleurs de l’entrepôt sont exposés et à réduire uniquement les livraisons aux produits de première nécessité. La multinationale, qui dispose de six centres en France, où travaillent 10 000 personnes, risque de lourdes sanctions pour l’évasion de tout ordre jugé non essentiel.
« Dans sa communication, Amazon met la pression sur les travailleurs, le met contre le public en disant: regardez-les, ils ne veulent pas travailler, ils ne veulent pas vous garantir en cette période de crise … Nous ne disons pas vraiment d’arrêter toutes sortes d’expéditions mais de nous limiter à ce qui est vraiment essentiel », explique Stéphane Enjalran, porte-parole du syndicat Solidaires.
La décision du tribunal atteste que l’entreprise n’a pas fait tout son possible pour protéger son personnel. Un employé est en soins intensifs, plusieurs autres ont été testés positifs et beaucoup craignent d’avoir été infectés. Pour sa part, Amazon a annoncé qu’il prendra également sur les salaires au cours de la période de lock-out.
« C’est normal et c’est logique parce qu’Amazon a beaucoup de moyens de le faire. En outre, les travailleurs ont été exposés pendant des semaines maintenant et il serait scandaleux pour nous si Amazon ne l’avait pas fait. » La fermeture des centres de distribution peut entraîner des retards dans les livraisons, mais les clients en France devraient toujours recevoir leurs commandes pour l’intervention de sociétés tierces qui sont toujours en activité.
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