L’introduction Pour faire une introduction de dissertation d’histoire, plusieurs choses sont à prendre en compte : Il faut amener le sujet par une phrase d’entrée en la matière.
Il faut présenter les bornes et les mots du sujet : par exemple, lorsque le sujet traite « l’impact de la seconde guerre mondiale en Europe du Nord de 1945 à 1985 », il faut expliquer ce qu’est la seconde guerre mondiale, ce qu’on appelle l’Europe du Nord et les bornes 1945, 1985 : pourquoi ces dates.
Il faut garder à l’esprit que ce devoir peut être lu par n’importe qui.
Il faut amener la problématique : il n’est pas nécessaire de faire une longue phrase, ou de même, pleins de questions.
La problématique ne contient pas le plan de façon explicite dans son intitulé.
Le plan : évitez les « premièrement », « deuxièmement » ou « troisièmement ».
Préférez : « En commençant par cela, nous pourrons voir ceci par la suite » (par exemple).
Il faut par contre que le lecteur comprenne, du premier coup d’oeil, de combien de parties sera composée la dissertation.
Les plans Il n’existe pas un seul plan pour la dissertation mais plusieurs plans.
Il faut introduire une idée, la commenter et lui accorder un exemple.
Par exemple, on peut parler de l’importance du travail de la femme durant les années 60, et l’illustrer par la volonté d’augmenter les droits de la femme.
Une anecdote est toujours intéressante si elle s’habille au sujet et qu’elle permet de mieux comprendre l’idée.
La conclusion La conclusion est un bilan.
Cela permet de mettre une critique interne du sujet.
En aucun cas, il ne faut formuler les informations primordiales dans la conclusion si elles n’ont pas été écrites dans la dissertation avant car cela montrerait à l’examinateur que vous connaissez certes le sujet, mais que vous ne savez pas le traiter.
L’ouverture à la fin de la conclusion n’est pas toujours obligatoire, mais il est toujours agréable d’avoir une portée des évènements dans le futur proche.
Il est délicat de parler du futur un siècle plus tard car beaucoup d’évènements se passent durant un siècle.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.
Le journal français Libération confirme les rumeurs de ces dernières heures : le professeur Luc Montagnier est décédé à l'âge de 89 ans.
Les épreuves de spécialité du baccalauréat ont été reculées de deux mois, jusqu’à la mi-mai.
Le décret comporte une série de nouvelles mesures, laquelle devraient être détaillées par le gouvernement au cours du mois de février.
Gabriel Attal s'est exprimé à l'issu du conseil des ministres le 26 janvier que : "Les révélations faites dans ce livre sont absolument révoltantes".
Ce mouvement inspiré de celui lancé au Canada prévoit de venir dans la capitale pour protester contre les restrictions sanitaires.