Spot le nouveau robot-chien de Boston Dynamics
La société Boston Dynamics vient de lever le voile sur son dernier robot-chien, baptisé Spot.
Boston Dynamics, qui appartient désormais à Google, a conçu des robots incroyables longtemps avant d’être racheté par le moteur de recherche. Aujourd’hui, la société nous dévoile son nouveau robot, dénommé Spot, qui est une version plus petite et plus agile du précédent robot Wildcat.
Ne pesant que 72 kg, Spot est capable grâce à sa propulsion électrique et son système de pattes hydrauliques de courir plus vite qu’un humain, de grimper des collines ou de se déplacer sur un terrain très accidenté. Spot peut également s’adapter au rythme d’une personne qui court à côté de lui, allant du simple trot à une vitesse plus effrénée.
Mais le plus surprenant est que ce robot-chien peut se stabiliser en cas de coup reçu. Ainsi, comme on peut le voir dans la vidéo plus en fin d’article, Spot encaisse un violent coup de pied envoyé par un des ingénieurs de Boston Dynamics sans broncher, titube légèrement, et se stabilise d’une impressionnante manière grâce aux multiples capteurs qu’il embarquent.
Plus léger que la plupart des robots de la société, Spot bat haut la main le robot LS3 tout-terrain dans une course à pied, mais il ne peut probablement pas transporter autant de poids que ses grands frères. Ce qu’il perd comme bête de somme, Spot gagne en souplesse. Ses créateurs disent qu’il peut être utilisé à l’intérieur comme à l’extérieur, et qu’il pourrait éventuellement aider à la recherche et au sauvetage de personnes, à la cartographie de lieux inaccessibles, ou d’accéder à des zones sinistrées.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.
Les épreuves de spécialité du baccalauréat ont été reculées de deux mois, jusqu’à la mi-mai.
Le journal français Libération confirme les rumeurs de ces dernières heures : le professeur Luc Montagnier est décédé à l'âge de 89 ans.
Le décret comporte une série de nouvelles mesures, laquelle devraient être détaillées par le gouvernement au cours du mois de février.
Gabriel Attal s'est exprimé à l'issu du conseil des ministres le 26 janvier que : "Les révélations faites dans ce livre sont absolument révoltantes".
Deux lignes électriques de 750 000 volts partent d'Odessa et l'une a été détruite par les Russes, mais la panne de Tchernobyl "est quelque chose de malheureux".