Lexus est comme tout le monde le sait la branche « luxe » de Toyota crée pour les Etats-Unis, au départ des simples modèles japonais rebadgés, la marque passe une autre étape, celle des modèles spécifiques comme cette nouvelle HS250h, espionnée il y a peu.
Comme son « h » l’indique, il ne s’agit pas seulement d’une vraie Lexus, mais aussi une berline à motorisation unique hybride, une première pour un véhicule de luxe ! Un modèle dédié, sorte de Prius berline, d’une taille la plaçant entre la IS à laquelle elle ressemble beaucoup et l’ES qui n’est pour lors non prévue pour l’Europe.
Son style n’est pas original mais optimisé pour l’aérodynamisme et tient en conséquence un excellent cX de 0,27.
Pour cela tout a été étudié pour la réduction des turbulences, du pare-chocs avant au pare-chocs arrière en passant par les montants.
PUBLICITÉPUBLICITÉMême si sa silhouette n’est pas franchement remarquable, l’identité Lexus est là par des traits proches du dernier RX, particulièrement les optiques avant et la forme du bouclier ; pas de calandre en « chute d’eau » mais elle est presque pleine à la manière de la Honda Insight.
Seul élément dynamisant, le pli latéral emmène haut la ceinture de caisse et les feux arrières sont totalement décolorés comme sur la Saab 9-3 restylée.
On passe de suite à la caractéristique principale de la HS250h, sa motorisation hybride ; un cocktail essence-électrique fort de 187 ch promu par un 2,4l type « Atkinson » utilisant la technologie VVT-i.
Lexus promet un réduction de 30% des consommations par rapport à la moins gourmande des Lexus actuelles, si on se tient à cela, il faut prendre l’IS220d utilisant 7,4l/100km, la HS250h afficherait donc 5,2l/100km.
L’intérieur est assez curieux, un dessin loin d’être avant-gardiste mais la console centrale très incliné détonne, on note aussi un système de commande ressemblant à une souris d’ordinateur et un mini-levier de vitesse à la droite du volant.
A l’apparence bien finie, ses matériaux laissent une bonne impression visuelle.
Prévue pour le marché nord-américain, elle ne sera disponible que dans le courant de l’été, sans autre information sur son prix ; Lexus prévoit d’écouler 30 à 35.
000 exemplaires par an.
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Une batterie fatiguée provoque des démarrages difficiles, qui peuvent entraîner une panne, le démarrage devient impossible.
Le frein nécessite un entretien et un contrôle régulier afin de gagner en performance et en longévité. L’utilisation d’un bon liquide de frein est aussi essentielle.
La batterie d’une voiture a en moyenne une durée de vie comprise entre 4 et 5 ans, selon sa marque, sa qualité et l’utilisation qui en est faite.
La solution la plus économique est de faire appel à un mandataire auto. Mais, est-ce que cette alternative est réellement plus bénéfique?