La politique automobile actuelle américaine serait-t-elle au recadrage total ? Opel a subi un grand revirement de situation concernant son avenir, à deux dois de passer entre les mains du consortium Magna-Sberbank, reste dans le groupe General Motors.
En difficulté, la marque au blitz doit des développer et la conquête de l’étranger lui semblait être une solution évidente.
Mais le PDG, Fritz Henderson, remet les pendules à l’heure : “Opel est une marque régionale et je ne vois pas pourquoi cela changerait.
Cela ne signifie pas que je suis contre toute idée d’utilisation ailleurs, mais la mesure du succès de la marque Opel se fait en Europe, parce que si vous ne gagnez pas ici, toute discussion concernant une exportation ne serait pas pertinente.
”GM, qui envoie officiellement Nick Reilly au poste de directeur d’Opel/Vauxhall, a l’air de vouloir décider pour Opel, le gouvernement allemand veut de son côté donner une certaine autonomie à Opel en échange d’une aide à la restructuration et créer une petite séparation pour que l’argent n’aille pas dans les caisses du QG de Detroit.
PUBLICITÉPUBLICITÉLe coût de la restructuration est aussi au cœur de l’affaire, car les chiffres divergent selon les sources.
L’agence Moody’s a estimé qu’il fallait au total 5,7 milliards d’euros pour financer Opel, Henderson y répond : “Je n’ai absolument aucune idée d’où ces chiffres peuvent venir.
Ce n’est pas ce que nous pensons être requis, nous pensons qu’il est requis environ 3 milliards d’euros au total.
”Cette analyse annoncée par le PDG de GM lance un froid pour la branche européenne, comme quoi le groupe préfère largement développer ses marques phares Chevrolet/Cadillac/GMC/Buick que d’étendre le réseau Opel.
Mais, selon la volonté d’Henderson, ce serait plus d’un milliard d’euros par an qui seraient consacrés pour gérer les modèles et moteurs de la marque.
Pour le futur, il affiche même un certain optimisme, appuyant sur le fait qu’Opel se débarrasse de ses stocks et qu’en 2010, les usines tourneront en fonction de la demande.
Un bonne nouvelle, mais attention à ne pas suivre Audi et les délais de livraisons allant jusqu’à six mois.
Source : Automotive News
Une batterie fatiguée provoque des démarrages difficiles, qui peuvent entraîner une panne, le démarrage devient impossible.
Le frein nécessite un entretien et un contrôle régulier afin de gagner en performance et en longévité. L’utilisation d’un bon liquide de frein est aussi essentielle.
La batterie d’une voiture a en moyenne une durée de vie comprise entre 4 et 5 ans, selon sa marque, sa qualité et l’utilisation qui en est faite.
La solution la plus économique est de faire appel à un mandataire auto. Mais, est-ce que cette alternative est réellement plus bénéfique?