Manifestations en Egypte - Crédits : Julien Salingue, via Twitter.com
Interrogé ce mardi sur la situation en Egypte, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius souhaite que le président déchu Mohamed Morsi soit libéré par l’armée.
« La situation est très critique. Nous appelons au refus de la violence et à la libération des prisonniers politiques, y compris l’ancien président Morsi », a affirmé Fabius lors d’une conférence de presse. Souhaitant l’ouverture d’un « dialogue » et la fin des « brutalités » dans un pays miné par les affrontements entre les partisans et les opposants de Mohamed Morsi, le chef de la diplomatie française doit rencontrer son homologue de l’Union européenne, Catherine Ashton, afin de trouver une solution. Depuis la destitution de l’homme d’Etat égyptien, le 3 juillet dernier des suites d’une vague de contestation populaire, l’Egypte ne cesse de connaître de vives tensions. Dernier appel en date, le désir pour les pro-Morsi d’organiser une manifestation visant à rassembler un million de personnes.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.
Le décret comporte une série de nouvelles mesures, laquelle devraient être détaillées par le gouvernement au cours du mois de février.
Les épreuves de spécialité du baccalauréat ont été reculées de deux mois, jusqu’à la mi-mai.
La France a pris, ce jeudi 17 février, la décision de quitter le Mali mais garde des campements militaires dans le Sahel. Cette décision découle de la relation tendue entre les nouveaux hommes forts du Mali et l’Hexagone.