Faute d’avoir trouvé un accord pour créer un gouvernement de coalition suite aux élections législatives du 6 mai, les grecs devront retourner voter au mois de juin.
« Nous allons hélas de nouveau vers des élections, dans quelques jours, sous de très mauvaises conditions » a déclaré le dirigeant socialiste Evangélos Vénizélo à la sortie de la réunion organisée par le chef de l’Etat, Carolos Papoulias.
Le parti de la gauche radicale Syriza était arrivé en seconde position lors des dernières législatives, mais a toujours refusé catégoriquement de former un gouvernement de coalition avec les autres partis acceptant les diktats de ce que les grecs appellent la Troïka (UE, FMI, BCE). Le parti, qui est devenu une des principales forces politiques du pays, rejette avec vigueur les différents plans d’austérité proposés par les technocrates et financiers européens.
« Nous allons participer à la réunion (avec le président). Mais nous nous en tenons à notre position. Nous ne voulons pas consentir à une quelconque politique d’austérité même si elle est appliquée par des personnalités extérieures à la sphère politique » avait déclaré un peu plus tôt le porte-parole du parti, Panos Skourletis.
Les élections législatives devraient vraisemblablement se tenir le 17 juin selon les informations publiées par la presse grecque.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.
Deux lignes électriques de 750 000 volts partent d'Odessa et l'une a été détruite par les Russes, mais la panne de Tchernobyl "est quelque chose de malheureux".
Le décret comporte une série de nouvelles mesures, laquelle devraient être détaillées par le gouvernement au cours du mois de février.
Le journal français Libération confirme les rumeurs de ces dernières heures : le professeur Luc Montagnier est décédé à l'âge de 89 ans.
Les épreuves de spécialité du baccalauréat ont été reculées de deux mois, jusqu’à la mi-mai.