En consacrant son ex-compagne, Sofia Coppola et en lui remettant le Lion d’Or pour son film Somewhere, Quentin Tarantino, président du jury du festival de Venise, se voit accuser de favoritisme par la presse italienne.
Ce n’est pas le premier dans ce cas.
A Cannes, on peut aussi se demander si les juges sont vraiment impartiaux certaines années quand ils offrent des récompenses.
Quentin Tarantino s’est défendu en insistant sur le vote unanime des membres du jury pour le film de Sofia.
Mais ce n’est pas tout.
Alex de la Iglesia, ami de Quentin, est reparti avec deux prix et Monte Hellman, un de ses mentors, a lui aussi été consacré.
Alors favoritisme ou pas, Quentin Tarantino risque de voir ses prochaines apparitions scrutées à la loupe.
Source : starpulse PUBLICITÉPUBLICITÉ
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