Catégories: Actualité
|
30 mars 2020 9 h 30 min

Bettie Page, de l'îcone aux boutiques vintage

Partager

Une enfance malheureuse et sans le sou, des rêves de gloire et de rôles dramatiques… il n’en fallait pas plus à Hollywood pour créer, à la façon de Marilyn, une icône des années 1950.
Née à Nashville, Bettie Page passe très vite de ses aspirations dramatiques aux photos de charme.

En plein boom de ces « pin-up » (littéralement, « celles qu’on accroche »), elle s’impose rapidement et devient en quelques années la reine du mouvement.
Avec la résurgence du vintage et l’engouement partout en Europe et aux États-Unis pour l’authentique, miser sur la tendance en associant une icône Pin Up est un coup de maître.
Il en est une qui l’a bien compris.
Étudiante russe expatriée aux USA, Tatyana Khomyakova, fan de stars et de la mode des années 1950, a créé, il y a quelques années, une collection de robes et accessoires sous le nom de la Pin-up, en s’inspirant des tenues portées par cette dernière et des nombreux clichés des années d’après-guerre.
Installées exclusivement aux États unis pour le moment et officiant sur la toile, les boutiques Bettie Page (2 en Californie et 1 au Nevada) sont devenues une référence pour les fans de l’esprit vintage des silent fifties.

Féminines, coquines et parfois provocantes, les tenues proposées sont d’un réalisme hors pair : longues jupes crayon ou à volants, robes cintrées unis, à rayures ou à pois, dans des tons oscillants entre les couleurs primaires et basiques (bleu, jaune, vert, rouge,noir).
Avec une tendance aussi tenace et portée en haut de l’affiche par de nouvelles icônes telles Dita Von Teese, on prédit aux boutiques Bettie Page un joli parcours.

Les plus lus

Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.

Le décret comporte une série de nouvelles mesures, laquelle devraient être détaillées par le gouvernement au cours du mois de février.

Les épreuves de spécialité du baccalauréat ont été reculées de deux mois, jusqu’à la mi-mai.

La France a pris, ce jeudi 17 février, la décision de quitter le Mali mais garde des campements militaires dans le Sahel. Cette décision découle de la relation tendue entre les nouveaux hommes forts du Mali et l’Hexagone.