La formation de pisteur secouriste commence par l’obtention de la formation aux secours PSE1 et PSE2.
Formations assurées par la croix rouge entre autres accessibles à compter de 16 ans.
Ce métier regroupe trois degrés.
Afin de pouvoir accéder au 1er degré, il faut : être âgé de 18 ans être titulaire des formations citées ci-dessus avoir un bon niveau en ski (il est nécessaire d’être titulaire de la flèche vermeil) ainsi qu’une bonne condition physique.
Il est alors possible de s’inscrire au test technique qui se déroule sur une journée.
La réussite à ce test est indispensable pour suivre la formation de 5 jours « Milieu en montagne » puis 2 semaines pour le stage spécifique en ski alpin ou nordique.
Chaque formation est sanctionnée par un test dont l’obtention ouvre droit au stage suivant.
Leur réussite donne accès au métier de pisteur–secouriste.
Cependant, il est possible de passer le deuxième voire le troisième degré.
Le pisteur–secouriste 2è degré a des connaissances plus importantes du milieu, de la météo, des secours.
Ils maîtrisent également la manipulation du matériel et techniques de montagne et peuvent faire des recherches en avalanches.
Afin de pouvoir passer le 2è degré, il faut avoir effectué 2 saisons hivernales en tant que pisteur 1er degré.
Cette formation est assurée par l’ENSA (Ecole Nationale de Ski et d’Alpinisme de Chamonix).
Arrive ensuite le 3è degré qui donne droit au poste de responsable des pistes.
Généralement ils sont affectés aux tâches administratives et vont peu sur le terrain.
Des spécialisations sont également possibles comme maître-chien d’avalanche ou déclencheur d’avalanches.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.
Le décret comporte une série de nouvelles mesures, laquelle devraient être détaillées par le gouvernement au cours du mois de février.
Les épreuves de spécialité du baccalauréat ont été reculées de deux mois, jusqu’à la mi-mai.
La France a pris, ce jeudi 17 février, la décision de quitter le Mali mais garde des campements militaires dans le Sahel. Cette décision découle de la relation tendue entre les nouveaux hommes forts du Mali et l’Hexagone.