Présentation Présentation rapide du Fujifilm Finepix s9600 Prise en main Bien plus imposant que ses concurrents, le S9600 ressemble trait pour trait à un reflex.
De construction sérieuse, la large poignée et le fût de l’objectif permettent une excellente prise en mains.
Le zoom du S9600 se pilote à la main, la plage de focale est très importante (28-300 mm).
L’écran LCD est monté sur un système qui permet de remonter l’écran à 90° ou de le descendre à 45°.
Qualité des images Son capteur à neuf-millions de pixels (SuperCCD HR) permet au FinePix S9600 de prendre des photos très détaillées.
Le piqué n’est pas mauvais et les couleurs restent fidèles.
C’est dans les ambiances lumineuses délicates que le « Fuji » montre sa supériorité et son extrême qualité avec un traitement du bruit électronique exceptionnel.
Malheureusement, le Finepix n’intègre aucun système de stabilisation mécanique ou optique.
L’association d’un vrai stabilisateur à l’excellente gestion du bruit électronique ferait de ce bridge un « tueur » de reflex d’entrée de gamme.
Points Positifs L’appareil photo numérique bridge Fujifilm Finepix s9600 gère très bien le bruit électronique de l’image au point de concurrencer les reflex d’entrée de gamme.
L’amplitude du zoom est incroyable (zoom 10 fois) et possède une bague de « zooming » ce qui est rare sur un bridge.
Elle permet une parfaite gestion de la focale, meilleure que celle d’une gestion électronique.
De plus, l’écran orientable (qui permet de prendre des photos en plongé ou contre plongé) le rend extrêmement polyvalent en photographies de concert, et de scènes de vie.
Points Négatifs En revanche, le Finepix s9600 ne dispose d’aucune stabilisation mécanique ce qui peut engendrer des troubles dans certaines photos.
Une parfaite maîtrise de cet appareil peut résoudre ce problème.
Le viseur électronique est bon sans pour autant être exceptionnel et reste donc à parfaire.
En cas d’ensoleillement extrême, il peine quelque peu à empêcher l’éblouissement ce qui s’avère très gênant et peut gâcher de nombreuses prises de vues.
De nombreuses aberrations chromatiques sont à déplorer.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.