En campagne à Nice, Nicolas Sarkozy a reconnu que les autorités françaises s’étaient rendues coupables «d’injustices» et «d’abandon» à l’encontre des harkis après la fin de la guerre d’Algérie.
La France a une «dette» à leur encontre. «Je suis venu porter témoignage de cette injustice pour qu’au fond, vous-mêmes, les descendants de harkis, vous puissiez pardonner ce qui est arrivé à vos parents» a déclaré le candidat UMP. Le chef de l’État en a appelé aux associations de rapatriés. «Pour que vous puissiez pardonner, il faut que la République reconnaisse qu’il y a eu une injustice, qu’il y a eu une forme d’abandon, c’est fait. Maintenant, pardonnez, parce que la République a besoin de vous»
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.
Gabriel Attal s'est exprimé à l'issu du conseil des ministres le 26 janvier que : "Les révélations faites dans ce livre sont absolument révoltantes".