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16 avril 2020 16 h 30 min

Le secteur événementiel en france

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Les activités du secteur Appartenant au marché publicitaire, le secteur de l’événementiel en France a une fonction bien précise, celle de faire passer un message en communiquant en interne ou en externe autour d’une manifestation festive qui marquera les esprits.
Ce service est de plus en plus externalisé, les acteurs de l’animation de fête faisant de plus en plus appel à des agences incentives ou des entrepreneurs spécialisés dans l’entreprise événementielle, qui leur permettront de disposer d’une meilleure gestion du travail, du temps et de l’argent.

Les métiers qui relèvent de ce secteur sont de deux sortes : l’organisation et la logistique (directeur de clientèle, chef de projet, directeur de production, concepteur-rédacteur) et l’opérationnel à proprement parler (hôtesses et hôtes d’accueil, régisseurs, ingénieurs du son, décorateurs, traiteur.
L’évènement peut être un salon professionnel, un congrès ou convention d’entreprise, un festival, un lancement de produits.
Il peut aussi s’agir de gérer les relations publiques et les relations presse d’une société.

// Le développement du secteur On a beau entendre qu’il s’agit d’un secteur bouché en France, ce n’est pas du tout le cas.
En effet, ce secteur connaît une croissance à deux chiffres depuis son émergence dans les années 80.
À cette époque-là, on dénombrait 26 agences, elles sont plus de 1000 aujourd’hui.
Jusqu’à 2009, cette croissance s’élevait à 10% chaque année, et si elle s’est légèrement tassée avec la crise financière en 2010, elle sera néanmoins de 5%.
Selon l’étude de l’Association des Agences de Communication événementielle (groupe ANAé) et le groupe Bedouk, Meeting et Events Média, réalisée en janvier 2008, l’événementiel en France, c’est 700 agences, contre 681 en 2007, 7700 collaborateurs, dont 54% de femmes, 2,23milliards d’euros de CA avec une progression de +13% par rapport à 2007.
Les secteurs porteurs sont ceux de la Finance/Banque/Assurance (50%), de l’Industrie (38%) et de la Chimie/Pharmaceutique/Cosmétique (32%).
Les régions les plus dynamiques sont l’Ile-de-France (50%), la région PACA (32%) et celles qui connaissent la meilleure augmentation sont les régions Aquitaine et Rhône-Alpes.