Les professions médicales générales ou spécialisées Les études de médecine ouvrent un large panel de débouchés.
Bien sûr, on pense au médecine généraliste, présent dans toutes les villes ou villages en libéral, ou dans présent dans tout hôpital.
Mais il est également possible d’envisager d’embrasser une carrière de spécialiste, c’est-à-dire : Chirurgien.
Cardiologue.
Ophtalmologue.
Dermatologue.
Allergologue, etc.
Pour cela, il faut, après le doctorat en médecine, faire trois années de spécialisation dans un hôpital.
Les candidats à ces spécialisations sont sélectionnés lors des Epreuves classantes Nationales (ECN), après la sixième année de cours.
Cette épreuve détermine également où les étudiants effectueront leur internat.
Les autres professions du domaine de la santé D’autres professions, plus ou moins spécialisées, existent dans le domaine de la santé.
On retrouve dans les hôpitaux les nombreux aides soignants et infirmiers, qui sont les premiers au contact des patients, et qui en prennent soin.
Le diplôme d’État aide soignant permet d’effectuer le métier d’AS, et le diplôme d’État infirmier, qui sanctionne l’école infirmière après trois ans d’étude, ouvre la porte à cette profession.
D’autres corps de métiers sont présents dans nos hôpitaux et dans certains cabinets, notamment les sage-femmes, les kinésithérapeutes et autres dentistes.
Ces trois professions nécessitent de passer avec succès la Première année de médecine, puis de se spécialiser dans sa branche : Les sage-femmes ont un rôle important lors de l’accouchement et dans les instants qui suivent, puisqu’elles prennent en charge l’enfant qui vient de naître.
Les kinésithérapeutes ont des activités très variées, on pense notamment à la rééducation des sportifs ou des accidentés qui se sont blessés.
Les dentistes s’occupent de toutes les maladies de la bouche, dont les fameuses caries, etc.
L’aide humanitaire Les plus motivés et les plus passionnés partent quelques années aider les plus démunis dans les pays du tiers monde.
Cela peut se faire avec le support de différentes associations, comme la Croix-Rouge, qui sont financées par des particuliers, mais aussi par des organismes publics, entre autres l’Union européenne.
Il s’agit alors d’aider des populations locales en leur donnant à manger et à boire, et en les soignant.
Cela s’avère souvent compliqué, car les moyens y sont très limités, du fait de l’absence de médicaments, mais aussi de la difficulté de les transporter rapidement sur les lieux.
Cette aventure permet d’aider des personnes dans le besoin, mais cela constitue également un enrichissement personnel.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.