Les outils Le matériel nécessaire : Un mètre, Une équerre, Un cordeau, Une règle de maçon, Une scie égoïne, Une scie à métaux, Un couteau de peintre, Une ponceuse, Un niveau laser (ou à bulle), Une visseuse, Un escabeau, Du mortier, De la colle, De l’enduit de lissage et de finition, De la visserie, Un (ou plus) pot de sous-couche pour le plâtre.
Comment s’y prendre ? Mesurer le plafond, faire un plan sur papier qui aidera à visualiser les différentes découpes à prévoir.
La scie égoïne convient pour découper le plâtre.
On peut prévoir d’insérer des spots de lumière dans un plafond suspendu.
Pour cela, il est préférable de se servir d’une scie cloche pour percer le trou dans la plaque de plâtre.
Un faux plafond peut servir à dissimuler de l’isolation, des gaines électriques, de ventilation.
Le faux plafond est indépendant du plancher porteur d’étages.
Le plafond suspendu est généralement utilisé dans des immeubles neufs, bien qu’il soit réalisable dans des immeubles anciens à condition de tenir compte de certains éléments, tel qu’effectuer dans ce cas un dégarnissage des solives, on pourra alors clouer des suspentes en acier galvanisé sur les solives pour réceptionner le faux plafond suspendu.
Le « BA 13 » Dans le cadre de rénovation sur bâtiment ancien, on peut poser un faux plafond sur un faux solivage.
Il faudra fixer des profilés métalliques ou des solivettes de bois face à face sur les murs, qui serviront de solivage secondaire indépendant du plancher d’étage.
Ce type d’ouvrage peut supporter tous types d’enduit.
Ce type de faux plafond est, le plus souvent, composé de plaques de plâtre, qui sont soit à enduire, soit à peindre.
Les plaques de « Placoplatre BA 13 » sont couramment employées dans le bâtiment, car elles sont simples d’utilisation.
Elles peuvent être hydrofugées.
Elles sont constituées de deux plaques en carton spécifique qui encadrent une plaque de plâtre.
Elles s’utilisent aussi pour les cloisons.
Un « monte-plaque » peut se louer dans un magasin spécialisé de bricolage.
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