Malgré le cessez-le-feu et l’envoi d’une troupe d’observateurs, le régime continue de pilonner la ville de Homs tandis que de violents combats opposaient militaires du régime et déserteurs.
Si l’arrivée des observateurs de l’ONU dimanche en Syrie aurait pu ramener un peu calme, il n’en est rien. Lundi, les violences ont fait 35 morts dans le pays, dont onze soldats, dans des bombardements et des combats entre déserteurs et forces du régime, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.
Mardi, les bombardements des troupes gouvernementales ont repris dans la province de Deraa et la ville de Homs. Au moins deux civils auraient été tués et des dizaines d’autres ont été blessés à Basr al-Harir.
Basr al-Harir, ou se sont réfugiés des centaines de de déserteurs, que les forces gouvernementales «tentent de mettre au pas», selon l’OSDH