La présidente de la région Poitou-Charentes s’est positionné ce samedi comme candidate à ce poste.
«Je n’ai pas à le cacher, et ce ne sera pas un handicap vis-à-vis des électeurs d’être candidate à la présidence de l’Assemblée nationale» a elle déclaré pour mettre au clair la situation en vue des législatives.
Au cours de ces législatives elle sera d’ailleurs confrontée à un ancien membre du parti socialiste, Olivier Falorni, évincé en raison de son refus de se retirer face à Mme Royal dont il considère la candidature comme un parachutage.