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22 avril 2020 17 h 20 min

Sauvons notre environnement

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La lutte pour la survie cause des confrontations entre humains et animaux La situation est critique.
Nous souffrons déjà des conséquences du réchauffement climatique.
Certains animaux abandonnent leurs habitats naturels, à la recherche d’espaces offrant des meilleures conditions de vie.
Dans cette lutte pour la survie, ils rencontrent les humains, avec lequels ils se disputent les territoires.

Cette confrontation est à l’origine des maladies imprévisibles.
Des animaux et insectes, vecteurs de maladies, élargissent leurs champs d’actions Le moustique du paludisme n’est plus apte à transmettre la malaria que dans les zones où les températures moyennes varient entre 20 et 30°C.
Le réchauffement climatique crée une migration de ces insectes vers les régions plus élevées, avec pour résultat l’apparition du paludisme.
Quant à la dengue, c’est une maladie virale prépondérante dans les régions tropicales et subtropicales qui offrent des conditions propices à la prolifération du moustique transmetteur.
Avec le réchauffement climatique, la dengue atteindra les régions qui, actuellement, sont hostiles au développement et à la reproduction du moustique.

Plusieurs maladies atteindront d’autres zones, et nous devons être préparés.
L’augmentation de la population humaine, un danger pour la vie sur terre L’augmentation de la population humaine est aussi un sérieux problème parce qu’elle préjudicie la vie de la planète.
Regardez : la population mondiale était estimée à 6 millions en l’an 10000 avant Jésus.
A l’époque de Jésus, elle est passée à 250 millions.
A la fin du XVIIIe siècle, elle était de 500 millions d’habitants.
De nos jours, elle est de 6,5 milliards, et selon les estimations, elle atteindra 9,1 milliards en 2050.
Si l’indice de croissance se maintenait, en 260 années, il existerait 400 milliards d’hommes sur la Terre.
Toutes les formes de vie sauvage souffriront des conséquences évidentes.
Si rien n’est fait, nous serons obligés de partager les habitats avec des animaux sauvages.
Nous devons réagir Malgré tous nos progrès technologiques, nous ne sommes pas plus qu’un simple phénomène biologique.
Il eût plusieurs espèces formidables qui se sont éteintes dans le passé, et nous ne constituons pas une exception.
La Terre est en péril.
Il est l’heure de contrôler ce problème, de lutter pour notre futur, pour l’avenir des nos enfants.
La crise du climat peut encore être résolue.
Réagissons dès maintenant.