Les différents statuts pour créer une entreprise sont : le travailleur indépendant : un travailleur non salarié en nom propre, c’est-à-dire que l’entreprise et les biens personnels sont confondus.
C’est un peu risqué, mais il n’y pas de capital minimum et pas d’associé.
La micro-entreprise ou auto-entrepreneur : une seule personne.
Pas de capital obligatoire.
Non assujetti à la TVA.
L’Entreprise Individuelle (EI) : une seule personne.
Les recettes sont le salaire.
L’Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée (EIRL) : les biens sont protégés.
L’Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL) : un seul associé, proche de la SARL.
Pas de capital minimum.
La Société par Action Simplifiée Unipersonnelle (SASU) : un seul associé.
37000€ de capital minimum.
La Société en Nom Collectif (SNC) : deux associés minimum, sans minimum de capital.
La Société Civile Professionnelle (SCP) : pour les professions libérales désirant s’associer.
Pas de capital minimum.
La Société à Responsabilité Limitée (SARL) : deux associés minimum et cent associés maximum.
Aucun capital n’est obligatoire.
La Société Anonyme (SA) : sept associés minimum.
37000€ de capital minimum.
La Société par Action Simplifiée (SAS) : deux associés minimum, pas de maximum.
37000€ de capital minimum.
La Société d’Exercice Libéral à Responsabilité Limitée (SELRL) : pour les professions libérales désirant s’associer.
Pas de capital minimum.
La Société à Participation (SEP) : pas de capital obligatoire.
Pas de charge sociale pour les associés.
Le Groupement d’Intérêt Economique (GIE) : deux associés minimum qui mettent leur activité en commun.
La Société Civile Immobilière (SCI) : pour l’achat d’un bien immobilier.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.