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16 avril 2020 2 h 55 min

Dominique Loreau ou l'art de la simplicité

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L’origine du concept de simplicité Dominique Loreau a été séduite par le mode de vie et la philosophie zen des Japonais.
Elle a tout de suite adoré leurs intérieurs minimalistes.
Il faut dire qu’elle a toujours aimé l’ordre et détesté les objets inutiles.
Voyageant beaucoup, elle a toujours été contrainte de ne conserver que ce qui est utile.

Le zen et la méditation lui ont fait comprendre que l’essentiel n’est pas de posséder, mais de bien vivre et de profiter de chaque instant sans chercher à donner un sens à la vie.
Ce questionnement est inutile et fait perdre du temps.
Son concept, décrit dans « L’art de la simplicité », qui concernait surtout l’intérieur des maisons, a été étendu à tous les domaines de la vie.
L’art de la simplicité dans la maison Il faut vider sa maison, faire le tri et épurer.
Seules comptent les choses nécessaires et vitales pour bien vivre.
Voilà la clé du bonheur.
Le « toujours plus » est source de stress et d’anxiété.

L’essentiel, c’est le calme et de profiter de chaque instant.
Les objets inutiles sont des parasites et des dépenses inutiles.
Un seul couteau suffit.
Les livres peuvent être lus sur les ordinateurs ou empruntés.
Les meubles ou objets encombrent l’espace et empêchent l’esprit de se détendre.
Les habits que l’on ne met plus sont inutiles.
Les repas trop copieux sont mauvais pour la santé et l’environnement.
L’art de la simplicité étendu à tous les domaines de la vie L’art de la simplicité a été étendu à tous les domaines de la vie dans « L’art des listes », publié en 2008 ou « L’art de la frugalité et de la volupté », publié en 2010.
Pour bien vivre, il faut faire le vide dans son entourage, ses amis, son carnet d’adresses et son emploi du temps.
Il ne faut conserver que les amis sur qui on peut compter.
Les autres compliquent la vie.
Il faut lâcher prise, ressentir réellement chaque instant et prendre du plaisir chaque minute.
Il faut s’alléger la vie, se consacrer à l’essentiel, faire de la place et approfondir ce que l’on aime vraiment et adopter le principe du « moins pour plus ».