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20 mars 2020 3 h 02 min

Comment arreter de fumer

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Les méthodes simples: Chaque fumeur a sa méthode de sevrage mais c’est souvent les substituts de nicotinique délivrée facilement dans les pharmacies qui sont le plus utilisés.
Avant même de choisir une méthode, le « fumeur » doit décider s’il veut stopper la cigarette de façon autonome, ou par l’assistance du corps médicale.

Les substituts nicotiniques: Il y a différents moyens utilisés comme les patchs, les gommes, les pastilles, les timbres ou les comprimés, leur réussite dépendra du bon dosage de nicotinique et de leur utilisation selon le patient.
Le Champix, ou le Zyban par exemple sont des noms de substitut.
La méthode progressive: L’usage de remplacement du tabac, dans la journée pour passer progressivement à un arrêt totale reste une des meilleurs solutions, à condition qu’il respecte le bon timing et la bonne méthode.
Les consultations de tabacologie : C’est un médecin qui pourra vous aidez en évaluant votre situation, et décider d’une orientation de la prise en charge et votre suivi psychologique et pratique.

Les méthodes douces: Elles sont, selon l’ANAES, des méthodes non validées et donc nécessite encore des preuves scientifiques : L’acupuncture : Beaucoup d’anciens fumeurs sont convaincus que l’acupuncture les a aidé à se sevrer du tabac, en effet, les spécialistes du ministère accordent qu’il y a des probabilités de réussite en accord avec le médecin du patient.
L’hypnose : C’est une méthode qui aide le fumeur à se séparer de ses pensées profondes en rapport avec le tabac par la fonction du sommeil.
Mais le seul inconvénient est que l’effet ne dure qu’un mois et demi et donc, cela nécessite de nombreuses séances d’hypnose et donc, des coûts très élevés car ce n’est pas remboursé par l’assurance maladie! L’homéopathie : C’est la substance de « tabacum » qui est souvent utilisé pour le sevrage tabagique.
Mais aussi en cas d’allergie au tabac, comme substitut mais pour les « gros » fumeurs cette méthode n’est pas d’une grande réussite .
L’homéopathie est remboursée par la sécurité sociale ! Les psychothérapies comportementales : C’est faire prendre conscience au patient les raisons pour laquelle il a pris la décision de fumer.
Il y a plusieurs méthodes comme celle des séances de groupe au travail ou dans des centres à cet effet.
Des groupes de 7 à 8 personnes entre 6 à 7 séances de 30 minutes suffirait.
Les résultats sont assez positifs car cette méthode prend aussi en compte le stress, l’anxiété ou la dépression qui sont souvent des facteurs déclencheurs de la prise du tabac.
Malheureusement, il y a peu en France de psychothérapeute dans se domaine … // Les pièges: Ce qu’il faut éviter: Le sevrage brutale de la cigarette est souvent source d’échec, cela est très anxiogène pour un fumeur d’arrêter brutalement car cela provoque beaucoup de stress et finissent souvent par un échec.
La cigarette électronique, le nouveau miracle pour stopper le tabac, deviens pour les autorités sanitaires françaises et l’OMS un moyen qui reste plus que douteux ! Le fumeur a l’impression de fumer une vraie cigarette car grâce à sa batterie et son microprocesseur, il ressent les vraies sensations d’une cigarette.
Selon l’OMS : « La cigarette électronique n’a pas fait ses preuves en tant que thérapie de remplacement de la nicotine » selon le Dr.
Ala Alwan qui est sous-directeur général chargé du Groupe Maladies non transmissibles et Santé mentale à l’OMS.
La cigarette électronique nécessite encore des tests pour prouver son efficacité selon l’OMS.
De plus, selon l’Afssaps et la DGS , elles peuvent contenir du propylène glycol, un solvant irritant, et des dérivés terpéniques (épilepsie).