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Histoire de la plaque signalétique

Signalisation routière Il est difficile de dater les origines de toutes les plaques signalétiques.
En signalisation routière, les premières bornes romaines, fabriquées en pierre, étaient les premières à équiper des voies carrossées.
A partir de 1745, les bornes royales (en pierre aussi) étaient ornées d’une fleur de lys, et implantées environ tous les 2km.

Avec l’apparition des automobiles, les premiers panneaux de signalisation à symboles voient le jour en 1902 (initiés par des associations ou des constructeurs de pneumatiques comme Dunlop ou Michelin).
En 1910, les premières plaques créées par Michelin indiquent les noms de localités, la désignation et le numéro des routes.
En tôle émaillée, elles ont des inscriptions comme « Merci » ou « Veuillez ralentir ».
La signalisation routière se met en place officiellement, et le code de la route devient officiel.
L’instruction qui fonde les principes de la signalisation directionnelle date de 1982.
L’immatriculation en question Dès 1749, Mr Guillaute, officier de la Maréchaussée de France sous Louis XV, proposait d’immatriculer les véhicules parisiens.
Dès 1901, les plaques d’immatriculation des voitures font leur apparition dans chaque département, mais la réglementation est anarchique.

Jusqu’en 1996, les numéros pouvaient être peints sur la carrosserie.
Depuis 1996, les plaques minéralogiques doivent être fixées.
Depuis 2009, les plaques de voitures sont attribuées à vie.
Tous les véhicules, comme les mobylettes, les motos, les bateaux, doivent avoir une plaque.
Un univers de plaques Les plaques sont partout car elles doivent donner une information précise sur le lieu ou l’objet indiqué.
Les plaques touristiques vous emmènent vers des parcours thématiques, des tables d’orientation, des visites particulières, etc.
Pour vous diriger, fiez-vous aux plaques de rues, de maisons, de stations de métro, de gares, etc.
Plus morbides, les pompes funèbres utilisent des plaques de diverses matières comme le marbre, la pierre calcaire, le granit noir… Des écritures sont gravées sur du verre, de la porcelaine, de l’ardoise, etc.
Dans l’armée, les plaques métalliques d’identité militaires permettent de reconnaître un soldat blessé ou mort, grâce au nom, matricule et groupe sanguin gravés sur celle-ci.
Depuis l’époque moderne, on trouve des plaques signalétiques sur les appareils électriques ou à moteur (voiture, tracteur…).
Cela permet une identification sans risque de confusion du modèle, et qui doit être noté dans le mode d’emploi.
Les numéros de fabrication sont utiles en cas de panne ou de recherche (vol).

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