Un précédent dans l’histoire de la NBA Déjà en 1999, un lock–out avait avait en grande partie amputé la saison NBA, mais aujourd’hui la situation pourrait s’avérer être encore plus catastrophique, le raccourcissement de la saison étant presque acté, l’annulation pure et simple demeurant une hypothèse crédible.
Une grève aux causes multiples Cette grève résulte de profonds désaccords financiers entre les propriétaires des franchises et les représentants des joueurs.
En effet, il semblerait selon la NBA qu’une grande majorité des équipes (22 sur 30) perdrait de l’argent en grande partie à cause des salaires mirobolants offerts aux joueurs qui deviennent alors les principaux bénéficiaires des revenus générés par le championnat.
Malgré les efforts des joueurs, la situation demeure complexe La tendance est à la concession du côté des joueurs, ces derniers étant prêt à réduire leur salaire pour économiser 500 millions de dollars sur les 5 prochaines années mais refusent que l’on touche au plafond salarial des équipes et à leurs contrats garantis.
David Stern, le patron de la NBA, lui ne désespère pas de trouver un accord même si chaque partie reste campée sur ses positions.
Quid de la saison prochaine Cette grève aurait de nombreuses répercussions, aussi bien du côté des joueurs qui seraient alors contraint de se tourner vers l’Europe ou d’autres championnats afin de conserver leurs conditions physiques, mais aussi le presse spécialisée et les millions d’employés de la NBA, car au vue de ces événements ce sont bien ces derniers qui sont les principakes victimes.
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