Les souris cobayes vivantes Les souris utilisées vivantes dans les laboratoires sont exploitées par les chercheurs dans le cadre de la recherche médicale.
A leur arrivée, les souris commencent par être testées, car seules les souris en bonne santé peuvent être utilisées.
Les souris saines sont mises en cage jusqu’à leur utilisation, et les autres sont euthanasiées.
Le destin des souris saines Les souris saines sont utilisées pour tester des médicaments, des réactions à certains virus ou certaines bactéries, de manière plus ou moins humaine.
Après les avoir anesthésiées, les chercheurs leur injectent la substance ou le virus à tester, et attendent leur réveil.
Ils peuvent alors constater les réactions et tirer les conclusions nécessaires à leurs recherches.
Les souris restées saines après l’expérience seront réutilisées plus tard, pour une nouvelle étude.
Celles à qui les chercheurs auront inoculé un virus ou une bactérie seront condamnées après avoir fourni le plus de renseignements possible, puisque devenues inexploitables.
L’euthanasie des souris de laboratoire Dans la plupart des grands laboratoires, les souris d’expérimentation sont euthanasiées décemment.
Tout d’abord, endormies à l’aide d’un gaz, elles reçoivent ensuite une injection et partent dans un profond sommeil duquel elles ne se réveillent pas.
Cependant, il n’en va pas de même pour tous les laboratoires, certains tuant les souris malades simplement en les gazant.
Certaines peuvent donc agoniser plusieurs heures avant de succomber.
Les souris mortes Dans les établissements scolaires, la dissection de petits animaux est répandue, et permet aux élèves de mieux comprendre l’anatomie de certaines espèces.
Les souris utilisées sont donc mortes avant d’être disséquées.
L’euthanasie des souris des établissements Les souris qui arrivent dans les établissements scolaires sont généralement fournies par des laboratoires.
Si elles sont déjà mortes, elles sont envoyées congelées afin de rester dans un état correct.
Si elles arrivent vivantes, elles sont tuées sur place avant la dissection, soit par un gaz, soit directement par élongation cervicale, et meurent alors dans la souffrance.
Aucune échappatoire Une souris qui arrive dans un laboratoire n’en ressortira jamais vivante.
Les laboratoires n’ont en effet pas le droit de libérer leurs cobayes, qu’elles aient subi une expérience ou non.
Le destin de ces souris est donc le même pour toutes, seule la façon de mourir sera différente.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.