D’origine anglaise (et non chinoise), le tennis de table se pratique seul ou en équipe.
On y joue généralement au camping en se disant qu’une raquette et une balle suffisent.
On peut certes s’amuser sur une table en béton, mais pratiquer en compétition devient plus complexe.
L’équipement Pour jouer au tennis de table, il faut bel et bien une raquette en bois, avec un revêtement rouge d’un côté, un noir de l’autre.
La balle est de couleur jaune ou blanche et doit mesurer 40mm de diamètre.
Le règlement de la FFTT (Fédération Française de Tennis de Table) indique de surcroît que pour être réglementaire, la tenue doit se composer d’une chemisette à manches courtes, d’un short ou d’une jupette, de chaussettes et de chaussures de sport.
Maintenant que vous êtes paré pour la compétition, place au classement.
Le classement Tout un chacun s’intéresse de près à son classement, même si au final celui-ci s’avère peu important.
A chaque match disputé (3 sets gagnants de 11 points) lors de championnats officiels, vous gagnez ou perdez des points.
On prend en compte le classement de l’adversaire et le votre, pour calculer le nombre de points qui vous est dû.
Chaque nouveau licencié commence avec 500 points et le classement attribué 5.
On prend ensuite un classement tous les cent points, et ce jusqu’à 2000 points.
Les joueurs sont ainsi classés entre 5 et 20.
Les meilleurs pongistes, quant à eux, sont numérotés entre 1 et 1000.
Qui ne rêve pas d’être n°1 de sa discipline ? La compétition Pour être « number one », il faut bien évidemment faire de la compétition.
Chacun trouve son échelon par des compétitions départementales aux nationales.
Le championnat par équipes où s’affrontent deux équipes de clubs différents se dispute toutes les deux semaines.
Le nombre de matches disputés diffère selon les échelons.
Si vous êtes plutôt individualiste, préférez les compétitions individuelles, qui comprennent quatre tours dans l’année.
Vous trouverez bien sûr votre niveau pour chacune de ces formules.
Vous trouverez plus d’informations sur Fftt.
com.
Pour Gérald Darmanin, le refus de la nationalité à Gims est lié à un article du Code Civil.