Extrigger est son nom et c’est une petite révolution pour le constructeur japonais Suzuki car il s’agit de la première moto 100 % électrique de la marque.
Reconnaissons que la moto, tout comme le scooter, est un format qui se prête bien mieux que l’automobile à la conversion à la fée électricité.
D’une part parce que ce type d’engins est naturellement amené à faire moins de kilomètres journaliers qu’une voiture, amoindrissant ainsi l’épineux problème de l’autonomie.
D’autre part, surtout dans le cas du scooter, certains modèles peuvent posséder des batteries amovibles, toujours appréciées des locataires d’appartements, même si ce cas est rare.
De plus, cela en fait un parfait antivol.
Dans le cas de cette Suzuki, remarquons déjà son design agréable mais n’oublions pas qu’il s’agit d’une mini-moto, ce qui peut en rebuter certains.
Fourche inversée, bras oscillant en aluminium, look de Street Bike, équipements lumineux réglementaires, tableau de bord connecté, elle a vraiment tout d’une grande.
Techniquement, Suzuki ne partait pas dans l’inconnu puisque cette Extrigger récupère le moteur électrique du scooter E-Let’s.
Bien sûr, les performances ne sont pas la vocation première de l’engin avec un pauvre 32 km/h en pointe, cantonnant forcément l’engin à un rôle urbain, voire uniquement ludique.
Le concept Extrigger sera présenté officiellement pendant le salon automobile de Tokyo.
Une batterie fatiguée provoque des démarrages difficiles, qui peuvent entraîner une panne, le démarrage devient impossible.
Le frein nécessite un entretien et un contrôle régulier afin de gagner en performance et en longévité. L’utilisation d’un bon liquide de frein est aussi essentielle.
La batterie d’une voiture a en moyenne une durée de vie comprise entre 4 et 5 ans, selon sa marque, sa qualité et l’utilisation qui en est faite.
La solution la plus économique est de faire appel à un mandataire auto. Mais, est-ce que cette alternative est réellement plus bénéfique?