Après la grande surprise de la Ferrari FF, qui a surpassé son ancêtre 612 Scaglietti en offrant une véritable révolution stylistique et technologique, Ferrari se prépare à remplacer la 599 GTB par un modèle -si on s’en tient en tout cas aux dernières indiscrétions- dans l’esprit des GT superperformantes de Maranello.
Priorité absolue : les prestations.
Pouvait-il en être autrement pour une voiture appelée à remplacer la Fiorano ? Quelques chiffres : la future superstar Ferrari sera dotée d’au moins 700 CV et d’un V12.
Ici point de transmission intégrale, on revient aux fondamentaux : propulsion ! Le schéma mécanique, selon PistonHeads restera fidèle à l’actuel : les douze cylindres ne changeront pas de place sous le capot.
Son poids s’améliorera nettement et de fait, ses performances de vitesse.
Mais entrons dans les détails : …Le propulseur de la nouvelle 599, sera vraisemblablement une évolution du 6.
3 V12 à injection directe, déjà utilisé sur la FF avec 660 CV.
La GT deux places est et devra rester une driver’s car pure et dure.
Si dans un premier temps, on restera en propulsion, d’autres rumeurs veulent qu’à l’image de Porsche, que Ferrari systématise la double offre, le client pourrait bientôt avoir le choix.
Vu les coûts de R&D pour la transmission intégrale, elle fera forcément des petits.
Selon certaines déclarations arrachées au testeur Rafaele De Simone, l’héritière de la Fiorano utilisera largement la fibre de carbone mais pas pour les partie structurelles.
“L’histoire de l’aluminium n’est pas encore finie.
Les partie portantes en fibre ne sont pas encore soutenables économiquement parlant pour une production d’au moins 2-3 exemplaires par jour“.
Une batterie fatiguée provoque des démarrages difficiles, qui peuvent entraîner une panne, le démarrage devient impossible.
Le frein nécessite un entretien et un contrôle régulier afin de gagner en performance et en longévité. L’utilisation d’un bon liquide de frein est aussi essentielle.
La batterie d’une voiture a en moyenne une durée de vie comprise entre 4 et 5 ans, selon sa marque, sa qualité et l’utilisation qui en est faite.
La solution la plus économique est de faire appel à un mandataire auto. Mais, est-ce que cette alternative est réellement plus bénéfique?